"A la consigne, je préfère répondre à ma conscience." (Victor Hugo)

Dans un monde aseptisé, randomisé où l’on aime ranger les personnes dans des boîtes avec de jolies sacrosaintes étiquettes, où l’on doit rester « politiquement correct » par rapport aux dites étiquettes, en ce qui me concerne, je continuerai à revendiquer la LIBERTE de PAROLE qui, est pour moi, l’expression même de la DEMOCRATIE.

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Les candidats de l'UNION des CENTRISTES TARNAIS

Les candidats de l'UNION des CENTRISTES TARNAIS
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jeudi 26 novembre 2009

Les profs ont-ils des droits au pays des droits de l'homme ?

Je ne suis dans l'enseignement mais j'adhère à ce point de vue !
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Les droits de l’homme valent-ils aussi… pour les professeurs ??? Cher collègue,

Vous avez sans doute lu dans le journal Le Monde du dimanche 22 novembre 2009 l’histoire atroce de notre collègue Claudine Lespagnol, professeur d’anglais au Lycée Jean-Lurçat dans le 13ème arrondissement de Paris.

Claudine a demandé à ses élèves d’arrêter de téléphoner et d’envoyer des SMS en classe. Elle n’a pas confisqué de téléphone puisque, comme vous le savez, c’est interdit.

Résultat immédiat, ses élèves ont signé - à la quasi-unanimité de la classe - une lettre au proviseur dans laquelle ils lui « conseillent vivement d'opérer un changement de prof ». Certains élèves ont également écrit à Claudine pour lui demander d’arrêter immédiatement de leur faire des remarques au sujet de leur téléphone portable :

« Si ce n’est pas le cas et qu’il n’y a aucun effort de changement de votre part, nous n’avons plus que quelques mots à vous dire : allez vous faire enc… »…

De plus, pour la « punir », ils lui ont volé la clé USB sur laquelle elle a ses cours. Vous et moi devons réagir immédiatement. Ces agressions ignobles envers notre collègue seraient normalement passibles de poursuites pénales, pour vol et injures, peut-être même pour menaces, si elle était un citoyen normal. Mais seulement voilà : Claudine n’est qu’un simple professeur de l’Éducation nationale. Dans son cas, les Droits de l’homme semblent ne pas s’appliquer !! En effet, elle n’a reçu que très peu de soutien de la hiérarchie. Elle aura dû attendre un mois pour qu'enfin l'inspecteur d'académie se déplace. Et encore : il s'est contenté pour le moment d'un simple rappel à l'ordre, sous le faux prétexte que « les punitions collectives » sont interdites par le règlement !!! Pourtant, c’est bien les uns après les autres que les élèves ont signé cette pétition et se sont engagés pour demander la tête de leur professeur… Et ils vont peut-être obtenir gain de cause : de sources syndicales, il est question de remplacer Claudine par un autre professeur au nom de la « continuité du service public » !!! Le proviseur, d'abord en arrêt maladie, lui aurait finalement apporté son soutien. La seule solidarité qu’elle a reçue pour l’instant est celle de ses collègues, qui ont débrayé depuis jeudi 19 novembre. JUSQU'À QUAND LES PROFESSEURS VONT-ILS CONTINUER À SE LAISSER MENACER ET HUMILIER ?

Ne sommes-nous que des moins que rien ?

Des citoyens sans aucun droit, et que des devoirs ?

N’y aura-t-il personne pour faire la moindre remarque à nos élèves, pour qu’ils arrêtent de nous cracher dessus, et parfois pire encore ? C’est pourquoi je vous demande de signer la pétition au ministre de l’Éducation nationale Luc Chatel, en solidarité avec notre collègue Claudine Lespagnol. Ce qui se passe là est d’une gravité sans précédent. Notre collègue doit recevoir notre soutien, il y va de notre dignité. Personnellement, si après avoir demandé à mes élèves d’arrêter de jouer avec leur portable en classe, je recevais de leur part un tissu d’insultes aussi violentes, et que la hiérarchie leur donnait raison, je me sentirais humilié, sali, déshonoré, jusqu’au plus profond de moi-même. Heureusement, il semble que Claudine soit d’une force morale exceptionnelle, et qu’elle tienne le choc jusqu’à présent. Mais ce n’est pas une raison pour la laisser toute seule. C’est pourquoi signer cette pétition de solidarité avec elle est si important. Et j’espère que vous la transmettrez immédiatement à tous les collègues !!

Les élèves le savent : circulaire après circulaire, toute la réglementation que le ministère de l’Éducation Nationale a savamment écrite jour après jour, est là pour défendre « l’enfant roi » contre la « tyrannie » de l’enseignant, pour que le professeur n’abuse pas de sa supériorité d’adulte …

Il faut bien reconnaître que nous-mêmes, nous ne savons parfois plus ce que nous avons le droit de faire. Chaque fois que l’on réprimande un élève, on se demande toujours si on en a bien le droit. D’ailleurs, les élèves sont les premiers à vous le faire remarquer : « M’sieur, vous avez pas le droit de faire ça ». Ils vous expliquent ce qui est interdit. Avisez-vous de leur demander de se taire, certains osent vous rétorquer qu’on est en démocratie et que tout le monde a le droit de s’exprimer ! Et n’oubliez pas que de votre côté ce n’est pas la même chose. Si un élève vous menace, il faut qu’il vous menace deux fois avant que vous ne puissiez faire quelque chose. Les avertissements ? Depuis trois ans, il est interdit de les faire figurer sur le bulletin scolaire. Ça rime à quoi ? Aujourd’hui, on a ruiné l’autorité des professeurs parce que l’on a considéré que l’autorité c’est l’application d’une procédure. Le résultat est tout simplement CATASTROPHIQUE, et ce sont les élèves eux-mêmes qui en sont les victimes également. Car si nous ne pouvons plus faire cours, que vont-ils apprendre ? Comment peuvent-ils préparer leur avenir ??? Notre devoir d’éducateurs est de mettre fin à cette situation ubuesque. Mais pour l’heure, il y a vraiment le feu à la maison et je vous demande de signer la pétition. Je vous tiendrai évidemment au courant des résultats et des suites que nous donnerons à cette action, avec tous les membres de l’association SOS Éducation. Et surtout, faites passer à tous les COLLEGUES !!! Un grand merci, aaaaaaaaaaa aaaaaaaaaaa aaaaaaaaaaa aaaaaaaaaaa David Barbaud

Professeur certifié d’histoire-géographie

Gisors, le 24 novembre 2009

Pour toute demande d'information au sujet de cet appel et de la garantie de confidentialité, merci de vous adresser à SOS Education, contact@soseducation.com - www.soseducation.com, association sans but lucratif déclarée selon la Loi de 1901 - Siret : 441 199 627 00031 - Déclaration CNIL : n°871 850 - Informations légales - 120, boulevard Raspail, 75006 Paris - Téléphone : 01 45 81 22 67 - Fax : 01 45 89 67 17

vendredi 20 novembre 2009

Il est enfin paru !!!

Le livre de Julye ROUSSEL : "Au risque de me perdre" vient de paraitre aux éditions Praelego.

Résumé livre :

« Une histoire d'amour qui s'est transformée avec le temps... pas de haine mais, j'en sortirai… désabusée... un peu écœurée même... ! »

Qu’est devenue l’Education Nationale aujourd’hui ? Une succession de ministres et de réformes, des élèves qui cherchent désespérément leur voie, des professeurs critiqués, agressés, écœurés, non reconnus même par une institution qui devrait les comprendre.

A l’aube de la retraite, c’est ce triste constat que fait Gaby, prof d’EPS en nous livrant l’expérience de sa vie. C’est l’histoire d’un combat, d’une lutte pour dénoncer et défendre. Combat d’une femme considérée atypique parce qu’elle refuse d’être « un mouton » !

Quelles solutions, quelles mesures trouver devant cette école qui se meurt ?

Révoltée et en quête de réponse, elle se tournera vers la politique et, « mettra le nez » dans des dessous pas très propres !

Désabusée mais confiante, elle s’impliquera en Afrique.

(en vente sur Amazon, Chapitre.com ....)

mardi 3 novembre 2009

C'est en Europe et tout le monde s'en fout !!!

Un pays coupé en deux.

Un pays occupé partiellement par des troupes d’invasion.

Une ville partagé par un mur de la honte.

Des population autochtones chassées de leurs maisons ancestrales et de leurs terres.

Ces terres et maisons occupées par des populations étrangères, de langue, d’ethnie et de religion différentes, dans le cadre d'une colonisation forcée.

Des citoyens qui pour pouvoir se déplacer dans leur capitale doivent remplir un imprimé et subir des contrôles d’identité aux « check points » !

… et le monde entier s’en moque !!!

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Où sommes-nous ?

A Berlin avant 1989 ? L’armée d’occupation est soviétique ?

A l’époque tous compatissaient au destin des habitants de cette ville. Un célèbre président des États-Unis a dit, au pied du mur de Berlin « Ich bin ein Berliner »

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A Jérusalem ? L’armée d’occupation est israélienne ?

Non, le monde entier ne se moque pas du destin de Jérusalem et des palestiniens… bien au contraire !

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Ne cherchez plus…

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Nous sommes en Europe et le pays envahi est membre désormais de l’Union Européenne.

Nous sommes à Chypre et dans sa capitale Nicosie.

Ce pays, membre du Conseil de l’Europe depuis 1961 a vu sa partie nord occupée par l’armée turque en 1974.

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200 000 Chypriotes ont été contraints à l’exode entre 1974 et 1975, chassés du territoire occupé par la Turquie et parallèlement, cet état a alors mené des campagnes successives d'émigration forcée vers la partie occupée de Chypre ( bien que cela soit systématiquement condamnées par des résolutions de l'ONU) afin renforcer son poids démographique et turquiser et islamiser le Nord de l'île.

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L'armée turque occupant sa partie nord, Chypre (y compris sa capitale Nicosie) est depuis divisée en deux états séparés par « ligne Attila », le nom est bien significatif.

  • La partie nord, autoproclamée République turque de Chypre du Nord, n'est reconnue que par la Turquie, et est peuplée par des Chypriotes d'origine turque, et des Turcs issus de la politique de colonisation forcée organisée à partir de depuis l’invasion.
  • Au sud, la République de Chypre est la seule internationalement reconnue. Elle dispose d'un siège à l'ONU et est membre de l'Union européenne. Cet état est réputé exercer sa souveraineté sur l'ensemble de l'île mais cependant ne contrôle pratiquement que la partie méridionale.

Et tout cela dans l’indifférence, le monde entier s’en moque totalement…

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Le 3 octobre 2005, les 25 chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union européenne et la Turquie ont décidé d’ouvrir des négociations en vue de l’adhésion de ce pays à l’UE. l’entrée de la Turquie dans l’Union. On nous dit à ce sujet que la Turquie devra se conformer strictement aux critères contenus dans la Charte des Droits Fondamentaux de l’UE. Elle devra écarter définitivement et complètement l’armée du champ du pouvoir, mieux respecter les droits de l’homme, garantir le respect des minorités, au premier chef des Kurdes, assurer le bon fonctionnement de l’Etat de droit, mettre en oeuvre l’égalité des droits entre les hommes et les femmes, aujourd’hui menacée, et enfin reconnaître le génocide arménien.

De bien pieuses intentions permis lesquelles on a surtout évoqué le préalable lié à la reconnaissance du génocide arménien… Il n’y a par contre pas eu de voix pour mettre un préalable concernant l’occupation de Chypre et la réparation des spoliations !!!

Alors, moi, personnellement, même si je ne suis rien, au nom des valeurs Humanistes, quand on parle de l’entrée de la Turquie en Europe, désolée, je tousse !!!

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La « banque de la Sécu » inquiète pour son découvert

La « banque de la Sécu » inquiète pour son découvert

L'Acoss, la « banque » de la Sécu a souligné mardi les risques liés à la hausse prévue de son découvert qui pourrait atteindre 65 milliards d'euros en 2010, estimant que la gestion des déficits cumulés n'a pas vocation à lui être confiée et nécessite une « solution pérenne ». Rappelant dans un communiqué que son plafond de trésorerie prévu dans le projet de budget de la Sécurité sociale pour 2010 s’élève à 65 milliards d’euros, le Conseil d'administration de l'Acoss « entend appeler l’attention sur les risques se rattachant à un tel niveau de besoin de financement s’agissant des activités quotidiennes de gestion de trésorerie ».

Hé bé : c'est déjà un début de décentralisation !!!

... Amusant !

dimanche 1 novembre 2009

... Ses dernier mots !

Une internaute, en conclusion d’un article sur les rencontres touts azimuts du président du Mouvement Démocrate, a posé une question pertinente :

« Quels furent les derniers mots de Tarzan ?????? »

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… La réponse est connue, les derniers mots de l’illustre Tarzan furent :

"... Mais quel est le c.. qui a graissé la liane ???"

kkkkkkkk